lundi 24 janvier 2011

révolution fiscale

Avant que j'oublie, un site dont on va beaucoup parler en France bientôt: http://www.revolution-fiscale.fr/

Il montre que les plus riches payent moins d'impôts que les autres. Vous pouvez aussi simuler votre propre révolution fiscale. Du bon travail.

mercredi 12 janvier 2011

Deux ou trois choses

A propos de journalistes peu intelligents, je salue la performance de mon vieil ami PPDA, dont j'ai déjà honoré ici la fine patine de culture, médiocre auteur d'ouvrages de fiction à qui la vanité et le besoin compulsif de paraître font commettre des ouvrages fictifs.

Ayant délaissé largement la blogosphère cette année, je ressens comme une atrophie de la rate. Je dois décidément me soigner. Il me restait pourtant quelques billets qui traînaient, en particulier sur un adultère mythomane et grotesque, sur un mémoire universitaire consacré aux blogues, et probablement sur moult billets du Renart, mon tendre ami, et les tendances à la compromission chez certains blogueurs, acceptant de devenir des enseignes publicitaires.

On doit se demander comment j'ai meublé ma vie, sans ce déversoir ancillaire de toutes mes aigreurs. Fort bien, et fort mal, merci. Pour celles et ceux qui connaissent mes activités, je dirais que les responsabilités m'annihilent et que je les endurent contre mon gré. Ma vie privée reste extrêmement débridée et elle doit vous indifférer.

Pour revenir à mon activité dans la blogsophère - un nom auquel je ne m'habituerai jamais - je me souviens avoir laissé un commentaire, en automne, sur le site de la "Clique du Plateau", un blogue qui se veut acide, décalé, jeune, etc. Je ne me souviens plus de ce que j'ai écrit, ni du sujet du billet. Mais c'était trop acide pour eux, trop senti, ils ont sabré. C'est toujours ainsi: mes premières interventions, pourtant fort rares, passent très mal en général. Renart m'avait censurée, puis dé-censurée, puis traitée de mal baisée; ce grand esprit qu'est Jean-François Vezina, avait cru me répondre avec élégance sur son blogue, en grand seigneur comme on dit. Puis, sournoisement, après avoir laissé passé les mois, il a supprimé son billet. Ca devait trop le salir, j'imagine.